Histoire de FRAGILE Suisse

Depuis plus de 30 ans, nous venons en aide aux personnes vivant avec une lésion cérébrale et à leurs proches. Actuellement, FRAGILE Suisse se compose de onze associations régionales et de l’organisation faîtière dont les bureaux se situent à Zurich et Lausanne. Nous résumons ci-après l’histoire de l’organisation.

Depuis plus de 30 ans, nous venons en aide aux personnes vivant avec une lésion cérébrale et à leurs proches. Actuellement, FRAGILE Suisse se compose de onze associations régionales et de l’organisation faîtière dont les bureaux se situent à Zurich et Lausanne. Nous résumons ci-après l’histoire de l’organisation.

2022
Création de l'antenne romande de FRAGILE Suisse.

2020
L'organisation faîtière FRAGILE Suisse fête ses 30 ans.

2018
Reconstitution de l’association régionale FRAGILE Valais quatre ans après sa dissolution.

2017
La direction de l’organisation faîtière emménage à la Badenerstrasse 696, à Zurich Altstetten.

2015
FRAGILE Suisse fête ses 25 ans.

2005
FRAGILE Suisse propose la nouvelle prestation «Accompagnement à domicile». Celle-ci permet aux personnes touchées par une lésion cérébrale de vivre chez elles plutôt que dans un home et de conserver leur autonomie. Des professionnel·le·s leurs procurent un soutien à domicile dont la durée peut aller jusqu’à trois heures par semaine.

2003
Au numéro gratuit 0800 256 256, des professionnel·le·s répondent aux questions et demandes de toute sorte.
Fondation de l’association régionale Argovie-Soleure.

2002
Fondation de l’association régionale Suisse centrale.

2001
L‘« Académie FRAGILE Suisse », aujourd'hui appelée « Formation », ouvre ses portes. Elle propose des cours pour les personnes victimes de lésion cérébrale, les proches et les professionnels.

1999
Fondation des associations régionales de St-Gall et Berne-Espace Mittelland.

1998
Fondation de l’association régionale valaisanne.

1997
FRAGILE Suisse compte 4267 membres, et l’Office fédéral des assurances sociales (OFAS) reconnaît l’Association nationale FRAGILE Suisse comme organisation faîtière.
A St-Gall le premier groupe d’entraide voit le jour.
Constitution de l’association régionale bâloise.

1996
L’ASTCC prend officiellement le nom de «FRAGILE Suisse». Entre temps, l’organisation rassemble 3381 membres.
Fondation du «Zürcher Verein für Menschen mit Hirnverletzung» (Association zurichoise pour les personnes cérébrolésées).

1995
L’ASTCC s’installe dans des locaux à la Beckenhofstrasse 70 à Zurich.

1994
La Fondation ZEWO attribue son label de qualité à l’ASTCC.

1992
Dans le canton de Vaud, une association pour les personnes traumatisées craniocérébrales est fondée.
Un nouveau groupe d’entraide se forme en Suisse centrale.
L’ASTCC rassemble 1039 membres individuels et 44 personnes juridiques.

1991
La première assemblée générale a lieu dans le canton du Jura. Les premiers groupes d’entraide pour personnes concernées et proches voient le jour à Bâle, Saint-Gall, Zurich et dans l’Oberland zurichois.

1990
Le 23 juin, l’Association suisse pour les traumatisés craniocérébraux (ASTCC) est fondée à l’Hôpital de l’Île à Berne.
Un groupe de proches se constitue à Aarau.

1989
Des représentant·e·s de groupes d’entraide et de Pro Infirmis, des neurologues et des neuropsychologues se rencontrent et décident de fonder une organisation d’envergure nationale. Son but : rassembler les forces et épauler le lobbying pour les personnes vivant avec une lésion cérébrale et leurs proches.
Une association pour les personnes traumatisées craniocérébrales est créée à Genève.

1987
Avec d‘ancien·ne·s camarades de classe, Erika Schwob fonde le «Verein für hirnverletzte Menschen und ihre Angehörige und Freunde» (Association pour les personnes cérébrolésées, leurs proches et amis). Elles et ils impriment un premier prospectus et recrutent un nombre croissant de membres.
Le premier groupe d’entraide est constitué à Berne, au printemps 1987. Cette initiative repose sur les nombreuses réactions qui ont fait suite à l’émission de radio de novembre 1986 et sur l’intérêt que soulève le sujet des lésions cérébrales. Peu après, d’autres groupes d’entraide naissent à Zurich, Lucerne et en Suisse orientale.

1986
Dans l‘émission radiophonique «Handicap» (DRS 2) du 1.11.1986, la psychologue Erika Schwob dénonce le manque de soutien médical dont sont victimes les personnes cérébrolésées. Elle les invite à se manifester par téléphone ou par lettre, afin de fonder un groupe d’entraide.

Dès 1970
La circulation est en forte augmentation et, avec elle, le nombre d’accidents de la route. La fréquence des lésions cérébrales résultant d’un traumatisme suit une évolution parallèle. Le système de santé n’est pas préparé à ce phénomène. Les possibilités de réadaptation et de traitement spécialisé sont trop rares. Parmi les personnes touchées, les proches et les professionnels, les choses commencent à bouger: des groupements, qui se mobilisent pour les personnes victimes d'une lésion cérébrale, se constituent.