Le stress et l’AVC

De nos jours, nous sommes submergés d’informations que nous devons traiter rapidement. C’est une grande source de stress. Or, ce dernier est un facteur de risque d’AVC.

De nos jours, nous sommes submergés d’informations que nous devons traiter rapidement. C’est une grande source de stress. Or, ce dernier est un facteur de risque d’AVC.

Source: Pixabay

Nous en parlions le 29 octobre dernier dans le cadre de la Journée mondiale de l’AVC 2021: être sujet à trop de stress peut augmenter le risque d’être concerné par un accident vasculaire cérébral. Ceci de manière directe et indirecte. Directement, car le stress favorise le vieillissement des vaisseaux qui induit une augmentation de la pression artérielle. C’est alors cette augmentation qui accentue le risque d’AVC. Indirectement, car être sujet à trop de stress va favoriser d’autres types de comportements de compensation qui augmentent le risque d’AVC: fumer, mal se nourrir, manquer de sommeil ou consommer de l’alcool.

Ralentir pour réduire le risque d’AVC

Ralentir et prendre le temps de souffler peuvent donc contribuer à minimiser le risque d’AVC. En effet, éviter les comportements à risque peut considérablement réduire la probabilité d’être concerné.

Un témoin de notre dernière campagne médiatique a été victime d’un AVC que les médecins ont imputé au stress. «C’est cette accumulation de tâches qui a provoqué cet AVC», confiait-il dans un reportage pour Canal Alpha. Heureusement, il n’a été touché que par des séquelles mineures, mais il a néanmoins dû changer de poste afin d’être protégé de la pression constante du stress.